Les avantages retirés de l'activité politique
Le Canada et ses activités pendant ses élections
Les coûts qu'elle entraîne déterminent étalement sa fréquence. Ainsi, il est plus probable que la population vote et s'engage dans d'autres initiatives de la campagne si la course est serrée. Certaines catégories de travailleurs sont plus affectées que d'autres par les décisions gouvernementales et sont donc plus sujettes a s'engager politiquement, peu importe le prix. Les employés de la fonction publique, dont de décisions politiques. Voient dans une proposition beaucoup plus élevée que les autres citoyens, même si légalement ils ne peuvent participer a certaines activités politiques.
Les agriculteurs dont les revenus sont grandement influencés par les prix fixés par le gouv. et les décisions relativement a la gestion des approvisionnements, sont grandement influencés par les prix fixés par le gouv. et les décisions relativement a la gestion des approvisionnements, sont beaucoup plus actifs que d'autres groupes de même niveau de revenu et de scolarité.
Marchons vers l'avenir en tenant le drapeau du Canada dans une ligne droite et équilibré
Les niveaux d'activité politique varient énormément d'une prov. a l'autre, ce qui reflète partiellement la compétition qui découle du système multipartite. L'Alb., ou les élections provinciales et fédérales sont toujours a sens unique, a le plus faible taux de participation électorale au pays. L' î-P-É et la N-É., qui vivent un bipartisme hautement compétitif, ont le plus fort taux de participation. Au Q.C. la participation. Au Q.C. LA participation est plus forte lors des élections provinciales (très compétitives) ) que lors des élections fédérales, qui ont été a sens unique jusqu'en 1984, Dans les régions rurales de la Sask. des coopératives gérées démocratiquement sont d'importants producteurs et consommateurs; leurs membres acquièrent des
compétences qu'ils utilisent en politique, et cette participation, alliée au système compétitif de partis de la prov., fait en sorte que la participation a la vie politique de cette province dépasse de beaucoup cette de l'Alb.
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Certains gestes politiques procurent des avantages a la personne, indépendamment de leurs effets sur la politique ou sur le résultat d'une élection. Les tournées électorales et le travail a la permanence électorale, parce qu'ils permettent de rencontrer des gens, sont populaires auprès de ceux qui aiment se trouver en groupe. Donner de l'argent demande peu d'habiletés sociales; placarder une affiche sur son terrain ou apposer un autocollant sur leur parc-chocs ne demande ni de l'argent ni des compétences sociales très développées, mais exige un engagement suffisant a l'égard d'un parti ou d'un candidat pour pouvoir résister a des critiques possibles de la part des voisins. Des résultats de sondages révèlent que la démarcation entre différences sortes d'action au provincial et au fédéral que de la voir s'occuper de plus d'une action dans les deux types d'élections.
Certains observateurs soutiennent que le niveau actuel de participation des canadiens est suffisant. Des résultats de sondages révèlent que ceux qui participent peu ne se soucient guère de la politique et la connaissent mal, et accordent peu d'attention aux valeurs démocratiques. D'autres affirment que la participation est valable en elle-même et qu'on devrait l'encourager, car elle constitue le meilleur moyen d'acquérir des valeurs démocratiques; l'engagement démocratique relativement faible de ceux qui ne participent pas est surtout une conséquence de leur exclusion même volontaire - de la vie politique.
Toute tentative pour améliorer la participation devrait augmenter les avantages ou réduire les coûts de l'action politique. Parmi les avantages accrus, on pourrait observer des changements a la loi électorale ou aux règles d'imposition.
L'inutilité des votes individuels et des efforts de campagne dans des circonscriptions où un candidat est certain de l'emporter pourrait être éliminée par l'adoption d'une formule électorale de représentation proportionnelle, même si cela peut entraîner d'autres conséquences indésirables.
Allouer des crédits d'impôt a ceux qui contribuent a des partis politiques ou a des candidats peut transformer le coût de participation en avantages; c'est exactement ce qui s'est produit lors des élections fédérales et de plusieurs élections provinciales au cours des dernières années.
Les citoyens donnent plus d'argent que jamais auparavant aux partis politiques canadiens. Cependant l'augmentation du niveau d'instruction n'a pas produit l'association positive omniprésente entre le niveau d'instruction et la participation. Les principaux agents qui réduisent les coûts de participation aux campagnes doivent être les partis politiques eux-mêmes; en recrutant plus activement des volontaires par ex, Selon des résultats de sondages, beaucoup plus de citoyens seraient intéressés a participer aux campagnes électorales indique que les partis remplacer la main-d'oeuvres par le capital.
Une législation pour restreinte l'accès aux médias pourrait forcer les partis a rechercher de l'aide volontaire, mais elle pourrait aussi empiéter sur d'autres libertés politiques. Le meilleur moyen d'encourager la participation aux campagnes et a d'autres activités politiques est peut-être la démocratisation des activités qu'on qualifie habituellement de politiques.
Source : Richard Johnston
Rédigé par : Julie Landry
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